J’ai 31 ans, je suis salarié d’une association du handicap visuel, et travailleur social de formation. J’ai été candidat aux élections régionales en Ile-de-France. Je suis co-fondateur du Collectif citoyen de gauche pour Saint-Germain-en-Laye, collectif de rassemblement créé par des militants de la gauche locale et des citoyens lors des dernières municipales.

J’ai choisi d’être candidat à la candidature pour porter les valeurs et les aspirations de Nouvelle Donne lors de ces élections législatives et essayer de faire entrer notre parti dans cette nouvelle représentation nationale.

 

Notre parti, par ses valeurs et son programme, incarne ce renouvellement nécessaire. C’est pour cela que j’y suis adhérent depuis 2016. Je veux, comme mes camarades militantes et militants, rendre sa noblesse à la politique. C’est une affaire trop sérieuse pour la laisser entre les mains des politiciens, ceux qui font carrière et qui en vivent au point de l’étouffer et d’en dégouter de trop nombreux citoyens.

 

Ce carriérisme ne mène à rien. Les inégalités perdurent, la situation sociale de nombreuses personnes restent difficiles, leur vie quotidienne ne change pas. Ces injustices, je les constate dans mon quotidien professionnel et militant, mais elles restent le moteur de mon engagement.

 

Les discriminations ne devraient pas avoir droit de cité. La fraternité, valeur républicaine, ne doit pas juste être un mot inscrit en haut des écoles et mairies. C’est cela ce que je veux représenter. Une énergie, une volonté de changement de notre société, pour mettre à terre ces injustices sociétales, ces trop nombreuses discriminations et ces discours de haine qui inondent les espaces médiatiques et politiques…

 

Si cela peut être vu comme de l’idéalisme, de l’utopie, je pense que, sans idéaux, le monde est voué à rester le même. Sans utopie, pas de programme volontariste comme celui de Nouvelle Donne. Sans engagement, pas de changement

 

Ce changement, s’il est à réaliser dans nos institutions, il est aussi plus global. Je pense bien sûr à la transformation impérative de notre modèle de société face à l’urgence écologique. À mon sens, elle doit se faire dans un strict respect de la démocratie et de la justice sociale. C’est dans ce triptyque que je conçois mon militantisme politique mais aussi associatif et professionnel.  

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