“L’Archipel correspond à un mode d’organisation et de gouvernance qui s’inspire de l’œuvre de l’écrivain poète antillais Édouard Glissant. Dans les Caraïbes, chaque île possède sa propre culture, et s’insère dans le périmètre plus large d’un archipel. Cette situation entraîne un autre rapport au pouvoir, fondé sur la coopération et non sur la compétition, peut on découvrir sur le site de l’Archipel. Cette forme « archipélique » permet aux îles – organisations (associations, collectifs, mouvements, partis, syndicats…) et aux compagnons ou compagnonnes (personnalités associées) de conserver leur identité, leur structure et leur autonomie, et profitent du respect de leur histoire et de leur mode d’organisation, tout en profitant de la possibilité de travailler à des réflexions et des actions communes. Ce qui correspond aux identités-racine et identités-relation dans le langage de l’archipel.”
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Archipel de l’écologie et des solidarités