Depuis le début des années 80, le capital s’est accaparé une part toujours plus grande des richesses produites. Sur 30 ans, ce sont près de 40 000 milliards d’euros qui sont partis sur les marchés financiers au lieu d’aller dans les poches des salariés européens et donc réinvestis dans la consommation et l’économie réelle.

Il est temps de s’attaquer aux causes réelles de la crise