Zbyslaw Adamus

Directeur de CIO, j’ai toujours placé le service public au service du public, et non des majorités successives au pouvoir. Je suis membre de Nouvelle Donne. Mon « combat » actuel consiste à persuader les concitoyens avec lesquels je suis en contact que chaque petite action peut avoir un effet. Et si on organise les petites actions, on peut obtenir des effets à grande échelle, y compris dans le domaine écologique et social.

  • 1968 à 1972 : Université Lille 3, Licence de lettres en langues vivantes (allemand, polonais)
  • 1973-1974 : Institut Régional d’Orientation Professionnelle (IROP-CEFCO) de Lille ; obtention du CAFCO (certificat d’aptitude aux fonctions de conseiller d’orientation)
  • 1974 à 1983 : conseiller d’orientation au CIO (centre d’information et d’orientation) de Calais (62), 1983 à 2011 : directeur du CIO de Verdun (55)

Ma vie militante a commencé dans un comité local de l’UFC, avec les premiers relevés comparatifs de prix, à l’époque où l’inflation dépassait les 10%. Je continue à être un lecteur impénitent d’étiquettes.

Avec la scolarisation de mes enfants, je me suis engagé comme représentant de parents d’élèves avec la FCPE ; j’ai passé le flambeau à mon épouse quand je suis devenu directeur de CIO (centre d’information et d’orientation) pour éviter d’être juge et partie dans certaines réunions.

Les services d’orientation, outre leur vocation de conseil, sont un observatoire du fonctionnement de la scolarité, donc un thermomètre que les gouvernements successifs se sont ingéniés à vouloir casser. Le bras de fer est encore en cours, et j’y contribue avec l’association nationale des directeurs de CIO (ANDCIO) dont j’ai été vice-président pendant 9 ans. J’ajoute que j’ai toujours placé le service public dont j’étais responsable au service du public et non au service des majorités successives au pouvoir.

Aujourd’hui retraité, j’ai adhéré à Nouvelle Donne ; je contribue à différents groupes de travail et à la campagne des européennes.

Dans mes engagements successifs, je me suis limité à ce que je pouvais faire, et je l’ai fait. La réalité est plus vaste, mais tout y est lié : une action de consommateurs influe sur l’économique, donc sur le politique. Aussi, mon « combat » actuel consiste à persuader les concitoyens avec lesquels je suis en contact que chaque petite action peut avoir un effet. Et si on organise les petites actions, on peut obtenir des effets à grande échelle, y compris dans le domaine écologique et social.